Freddy et sa famille qui nous a si gentillement fait don d'un peliguay et d'un canard!
C'est l'histoire du canard alias le pato et de l'agneau alias le PELIGUAY
Mercredi dernier, nous sommes partis à la "chasse" d'un Peliguay, cadeau gracieusement offert par Freddy: le Peliguay!
On ne l'a pas seulement mangé, on est allé le chercher chez Freddy, un de nos compagnons de travail qui habite dans la campagne profonde dit le campo. La route pour se rendre chez lui, c'est de la boue et alors quand il pleut c'est pas une voiture qu'il faut c'est un 4x4. Arrivée chez Freddy on a du capturer le péliguay et ceci dit ce n'est pas chose facile sur plus de 5 hectares de terrain. Mais les gars y sont arrivés. Moi je regardais bien sûr! Ensuite, il a fallu capturer le canard qu'on allait manger le vendredi soir. Pas facile non plus!
Bien sur par la suite, nous l'avons fait mariner pendant toute une journée pour finalement le déguster le samedi après-midi avec tous les collègues de travail chez Jenífer la psy du centre.
Recette pour un après-midi d'enfer: des amis nica + un péliguay = un bon moment!
Le jeudi soir d'avant ce fut pareil mais en plus petit comité... Joan qui est cuisinier nous a fait le plaisir de préparer le canard façon espagnole et avec les moyens du bord.
Au menu: canard dans une sauce pomme de terre et carottes marinées à la bière! Un délice! Quoique que le canard fut plutôt résistant... il devait être très nerveux et stressé car lorsque nous l'avons mangé il était dur. On en a bien rigolé!
Et la fête alors?
Cette sortie fut purement professionnelle... afin de nous permettre Joan et moi de découvrir un peu mieux la culture Nicaraguaienne... et de manière générale, latine.
Le vendredi soir nous sommes sortis en discothèque.
Vers 5h30 du matin nous sommes sortis de la boìte de nuit après avoir dansé toute la nuit et le soleil se levait déjà! Retour vers Jinotepe pour le petit dej'... Et là ce fut un moment que j'ai trouvé extraordinaire... Fatiguée et épuisée pour n'avoir cessé de danser, je regardais le jour se lever avec un ciel mi-nuageux, brumeux et rempli de couleurs teinté de rouge, rose, mauve et orange. Le genre de ciel que l'on retrouve seulement dans les pays du sud.
Sur la route de Jinotepe, nous nous sommes arrêtés au bord de la route, un endroit où en général les jeunes viennent pour passer du bon temps. On appelle cet endroit les dunes d'herbes. Elles sont à perte de vue... Ce matin- là... les dunes étaient couvertes de brume. Plus loin, nous nous sommes arrêtés dans une maison toujours sur le bord de la route. C'était un restaurant...
Pour la première fois depuis mon arrivée au Nicaragua j'ai goûté à un petit déjeuner typique: la Natacamale. C'est fait à base de pate de maïs, riz ( bien sur!), viande et pomme de terre en purée le tout enroulé dans une feuille de bananier. C'est franchement bon! Je vous le recommande.
Mercredi dernier, nous sommes partis à la "chasse" d'un Peliguay, cadeau gracieusement offert par Freddy: le Peliguay!
On ne l'a pas seulement mangé, on est allé le chercher chez Freddy, un de nos compagnons de travail qui habite dans la campagne profonde dit le campo. La route pour se rendre chez lui, c'est de la boue et alors quand il pleut c'est pas une voiture qu'il faut c'est un 4x4. Arrivée chez Freddy on a du capturer le péliguay et ceci dit ce n'est pas chose facile sur plus de 5 hectares de terrain. Mais les gars y sont arrivés. Moi je regardais bien sûr! Ensuite, il a fallu capturer le canard qu'on allait manger le vendredi soir. Pas facile non plus!
En 5 étapes:
Première: capturer le peliguay
Deuxième: le ramener au centre et le faire patienter gentillement
Troisième: le tuer!
Alors la petite anecdote c'est je devais me charger de prendre les photos et bien au moment où j'ai vu le sang couler je suis partie en courant et en criant par peur. Entre temps Gerald me crie : " Jeni las fotos, las fotos!!!!"
Quatrième: le dépecer
Cinquième et dernière étape: le manger, le dévorer jusqu'à l'os!
Première: capturer le peliguay
Deuxième: le ramener au centre et le faire patienter gentillement
Troisième: le tuer!
Alors la petite anecdote c'est je devais me charger de prendre les photos et bien au moment où j'ai vu le sang couler je suis partie en courant et en criant par peur. Entre temps Gerald me crie : " Jeni las fotos, las fotos!!!!"Quatrième: le dépecer
Cinquième et dernière étape: le manger, le dévorer jusqu'à l'os!
Bien sur par la suite, nous l'avons fait mariner pendant toute une journée pour finalement le déguster le samedi après-midi avec tous les collègues de travail chez Jenífer la psy du centre.
Recette pour un après-midi d'enfer: des amis nica + un péliguay = un bon moment!
Le jeudi soir d'avant ce fut pareil mais en plus petit comité... Joan qui est cuisinier nous a fait le plaisir de préparer le canard façon espagnole et avec les moyens du bord.
Au menu: canard dans une sauce pomme de terre et carottes marinées à la bière! Un délice! Quoique que le canard fut plutôt résistant... il devait être très nerveux et stressé car lorsque nous l'avons mangé il était dur. On en a bien rigolé!
Et la fête alors?
Cette sortie fut purement professionnelle... afin de nous permettre Joan et moi de découvrir un peu mieux la culture Nicaraguaienne... et de manière générale, latine.
Le vendredi soir nous sommes sortis en discothèque.
La première fut le coco Jambo que je connaissais déjà pour y avoir été avant avec des collègues.
Nous avons beaucoup dansé et j'ai pu améliorer ma salsa et mon merengue. Mais le plus sympa a été lorsque nous avons pris la voiture pour nous rendre à Managua, oui oui! à la disco MATRIX. Alors là! c'est un vrai concours de danse. Les gens dansent tous aussi bien les uns que les autres sinon mieux!
Nous avons beaucoup dansé et j'ai pu améliorer ma salsa et mon merengue. Mais le plus sympa a été lorsque nous avons pris la voiture pour nous rendre à Managua, oui oui! à la disco MATRIX. Alors là! c'est un vrai concours de danse. Les gens dansent tous aussi bien les uns que les autres sinon mieux!
Vers 5h30 du matin nous sommes sortis de la boìte de nuit après avoir dansé toute la nuit et le soleil se levait déjà! Retour vers Jinotepe pour le petit dej'... Et là ce fut un moment que j'ai trouvé extraordinaire... Fatiguée et épuisée pour n'avoir cessé de danser, je regardais le jour se lever avec un ciel mi-nuageux, brumeux et rempli de couleurs teinté de rouge, rose, mauve et orange. Le genre de ciel que l'on retrouve seulement dans les pays du sud.
Sur la route de Jinotepe, nous nous sommes arrêtés au bord de la route, un endroit où en général les jeunes viennent pour passer du bon temps. On appelle cet endroit les dunes d'herbes. Elles sont à perte de vue... Ce matin- là... les dunes étaient couvertes de brume. Plus loin, nous nous sommes arrêtés dans une maison toujours sur le bord de la route. C'était un restaurant...
Pour la première fois depuis mon arrivée au Nicaragua j'ai goûté à un petit déjeuner typique: la Natacamale. C'est fait à base de pate de maïs, riz ( bien sur!), viande et pomme de terre en purée le tout enroulé dans une feuille de bananier. C'est franchement bon! Je vous le recommande.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire